Tyler M. James : « L’absence de finalité donnée à la vie est devenue une condition de l’action. »
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Tyler M. James : « L’absence de finalité donnée à la vie est devenue une condition de l’action. »
Bonjour les copains je m'appelle Tyler Michael James , vous êtes ravi de me rencontrer n'est-ce pas ? Oui ? Non ? Vous en foutez pas mal ? L'ensemble de ses réponses ? Bref passons !! Je suis persuadé que vous vous mourrez d'envie d'en savoir plus sur moi et comme je me sens sympa je vais tenter d'étancher votre insatiable curiosité.
Né à Boston , au Massachusset , le 23 mars 1982, c'est en vivant seul avec ma mère que je grandis tout en me sentant perdu n'ayant pas de modèle masculins à qui m'identifier. Ma mère me cacha longtemps son attirance pour les femmes – faut avouer qu'il aurait été malvenu qu'elle me l'avoue alors que je n'étais pas en âge de comprendre – je fini par découvrir le tout lorsque , âgé de 11 ans, j'entrai à la maison en la trouvant avec la voisine entrain de faire des trucs dont il vous serait impossible de même imaginer que votre mère puisse en être capable. M'étant réfugié dans ma chambre je n'avais pas bougé de la soirée et ce n'est que le lendemain matin que j'avais descendu à la cuisine mais j'évitais toujours ma mère. Cette tension dura pendant des mois et puis un jour, alors que je rentrai de l'école, je remarquai la présence d'un ami de ma mère...il tenta de m'empêcher d'entrer dans l'appartement mais je finis par entrer, après lui avoir asséné un bon coup de pieds dans les noisettes et je rentrai dans l'appartement avant d'en ressortir complètement apeuré. Je venais de découvrir que ma mère était décédée par overdose, elle avait replongée dans ses problèmes de consommations depuis peu et le fait que je l'ai repoussée comme je le faisais ne devait pas lui avoir été d'une grande aide.
Pendant une période durant près de 4 ans, je passai d'un foyer d'accueil à un autre et plus les années filaient plus mon caractère bouillant et fringuant semblait prendre de l'ampleur. Rien ne semblait m'affecter on m'avait beau m'engueuler ,et m'infliger les pires punitions , je m'en foutais éperdument. C'est donc ce qui me poussa à fuguer vers l'âge de 16 ans et c'est après avoir commis un petit larcin dans la résidence d'un juge que ma vie emprunta une nouvelle tangente. En effet le juge me proposa un marché, il accepta d'oublier ce que je venais de faire à la condition que je reprenne mes études et que je me tienne à carreau... c'était un marché de dupes mais je compris aisément que je n'avais guère le choix et puis le juge s'était montré généreux envers moi, veillant sur moi au loin un peu comme le ferait un grand-père.
Ayant mon diplôme de lycéen en poche j'envisageai d 'entreprendre des études à l'académie de police de Chicago, après tout je me disais que je n'avais rien à perdre. Contrairement à mes appréhension je me découvris des affinités avec la professions et puis c'était une excellente façon pour moi d'exorciser mes remords face à la mort de ma mère, je ne cessais de me dire qu'à défaut de l'avoir sauvée j'allais pouvoir sauver d'autres victimes des mains de leurs dealeurs.
Diplôme de l'académie fraîchement obtenu, j'obtins un poste de patrouilleurs et rapidement je fus promu au titre d'inspecteur à la criminelle. Mon coté bagarreur et fouille merde fit de moi un excellent inspecteur mais c'est aussi cet aspect de ma personnalité qui me conduit à ma perte.
Ma curiosité était motivée par ma soif de savoir et mon sens aigu de la justice et j'avais décidé de pousser mon enquête sur les liens entre cet obscur politicien New Yorkais et la mafia dans le but bien avoué de découvrir ce qu'ils pouvaient bien dissimuler, j'étais prêt à tout afin de faire éclater cette histoire au grand jour. Un soir, alors que je m'apprêtai à rentrer à la maison rejoindre ma fiancée , je reçu une visite surprise - des hommes de mains envoyés par vous savez qui - mais lorsque je réalisai quelles étaient leurs intentions il était malheureusement trop tard...Rachel était inconsciente et alors que je décidai de m'emparer de mon arme je reçu un projectile à mon tour.
À mon réveil, alors que j'étais à l'hôpital, on m'apprit que Rachel n'était plus et c'est à ce moment que je commençai à devenir fou de rage et que j'entretins cette folle soif de vengeance qui était la mienne. Bien évidemment on me retira l'enquête mais en parfait entêté je décidai d'appliquer ma propre justice, avec les conséquences que cela implique. Vous vous en doutez surement je me retrouvai suspendu , par les corrompus qui dirigeaient le département, mais je ne regrettais aucunement mes agissements, après tout j'avais perdu foi en la justice et je m'étais fait à l'idée que j'étais le seul pouvait appliquer un semblant de justice, mes collègues étant trop corrompus pour la faire appliquer. Bien sur le climat était devenu invivable, tellement il était devenu tendu, et c'est alors que je décidai de quitter mon emploi...tout le monde y gagnait, mes patrons ne m'avaient plus dans les pattes et je pouvais envisager un nouveau départ. Après avoir vagabondé aux quatre coins de mon coin de pays natal j'ai finis par atterrir ici à Los Angeles et je travaille en tant que responsable de la sécurité chez Forrester depuis près d'un an.
Né à Boston , au Massachusset , le 23 mars 1982, c'est en vivant seul avec ma mère que je grandis tout en me sentant perdu n'ayant pas de modèle masculins à qui m'identifier. Ma mère me cacha longtemps son attirance pour les femmes – faut avouer qu'il aurait été malvenu qu'elle me l'avoue alors que je n'étais pas en âge de comprendre – je fini par découvrir le tout lorsque , âgé de 11 ans, j'entrai à la maison en la trouvant avec la voisine entrain de faire des trucs dont il vous serait impossible de même imaginer que votre mère puisse en être capable. M'étant réfugié dans ma chambre je n'avais pas bougé de la soirée et ce n'est que le lendemain matin que j'avais descendu à la cuisine mais j'évitais toujours ma mère. Cette tension dura pendant des mois et puis un jour, alors que je rentrai de l'école, je remarquai la présence d'un ami de ma mère...il tenta de m'empêcher d'entrer dans l'appartement mais je finis par entrer, après lui avoir asséné un bon coup de pieds dans les noisettes et je rentrai dans l'appartement avant d'en ressortir complètement apeuré. Je venais de découvrir que ma mère était décédée par overdose, elle avait replongée dans ses problèmes de consommations depuis peu et le fait que je l'ai repoussée comme je le faisais ne devait pas lui avoir été d'une grande aide.
Pendant une période durant près de 4 ans, je passai d'un foyer d'accueil à un autre et plus les années filaient plus mon caractère bouillant et fringuant semblait prendre de l'ampleur. Rien ne semblait m'affecter on m'avait beau m'engueuler ,et m'infliger les pires punitions , je m'en foutais éperdument. C'est donc ce qui me poussa à fuguer vers l'âge de 16 ans et c'est après avoir commis un petit larcin dans la résidence d'un juge que ma vie emprunta une nouvelle tangente. En effet le juge me proposa un marché, il accepta d'oublier ce que je venais de faire à la condition que je reprenne mes études et que je me tienne à carreau... c'était un marché de dupes mais je compris aisément que je n'avais guère le choix et puis le juge s'était montré généreux envers moi, veillant sur moi au loin un peu comme le ferait un grand-père.
Ayant mon diplôme de lycéen en poche j'envisageai d 'entreprendre des études à l'académie de police de Chicago, après tout je me disais que je n'avais rien à perdre. Contrairement à mes appréhension je me découvris des affinités avec la professions et puis c'était une excellente façon pour moi d'exorciser mes remords face à la mort de ma mère, je ne cessais de me dire qu'à défaut de l'avoir sauvée j'allais pouvoir sauver d'autres victimes des mains de leurs dealeurs.
Diplôme de l'académie fraîchement obtenu, j'obtins un poste de patrouilleurs et rapidement je fus promu au titre d'inspecteur à la criminelle. Mon coté bagarreur et fouille merde fit de moi un excellent inspecteur mais c'est aussi cet aspect de ma personnalité qui me conduit à ma perte.
Ma curiosité était motivée par ma soif de savoir et mon sens aigu de la justice et j'avais décidé de pousser mon enquête sur les liens entre cet obscur politicien New Yorkais et la mafia dans le but bien avoué de découvrir ce qu'ils pouvaient bien dissimuler, j'étais prêt à tout afin de faire éclater cette histoire au grand jour. Un soir, alors que je m'apprêtai à rentrer à la maison rejoindre ma fiancée , je reçu une visite surprise - des hommes de mains envoyés par vous savez qui - mais lorsque je réalisai quelles étaient leurs intentions il était malheureusement trop tard...Rachel était inconsciente et alors que je décidai de m'emparer de mon arme je reçu un projectile à mon tour.
À mon réveil, alors que j'étais à l'hôpital, on m'apprit que Rachel n'était plus et c'est à ce moment que je commençai à devenir fou de rage et que j'entretins cette folle soif de vengeance qui était la mienne. Bien évidemment on me retira l'enquête mais en parfait entêté je décidai d'appliquer ma propre justice, avec les conséquences que cela implique. Vous vous en doutez surement je me retrouvai suspendu , par les corrompus qui dirigeaient le département, mais je ne regrettais aucunement mes agissements, après tout j'avais perdu foi en la justice et je m'étais fait à l'idée que j'étais le seul pouvait appliquer un semblant de justice, mes collègues étant trop corrompus pour la faire appliquer. Bien sur le climat était devenu invivable, tellement il était devenu tendu, et c'est alors que je décidai de quitter mon emploi...tout le monde y gagnait, mes patrons ne m'avaient plus dans les pattes et je pouvais envisager un nouveau départ. Après avoir vagabondé aux quatre coins de mon coin de pays natal j'ai finis par atterrir ici à Los Angeles et je travaille en tant que responsable de la sécurité chez Forrester depuis près d'un an.
Invité- Invité
Re: Tyler M. James : « L’absence de finalité donnée à la vie est devenue une condition de l’action. »
Eh bien : Hope ne va pas s'ennuyer avec toi
Re: Tyler M. James : « L’absence de finalité donnée à la vie est devenue une condition de l’action. »
Nah elle ne devrait pas trop s'ennuyer
Invité- Invité
Re: Tyler M. James : « L’absence de finalité donnée à la vie est devenue une condition de l’action. »
Remarque lorsque je la jouais, elle devait tomber amoureuse d'un gars qui était un hétéro qui s'ignore mais ce n'est pas le pire : c'est son cousin et en bonne Logan, elle devait s'en moquer comme de sa première totote
Re: Tyler M. James : « L’absence de finalité donnée à la vie est devenue une condition de l’action. »
xD vive les couples consanguins
Invité- Invité
Re: Tyler M. James : « L’absence de finalité donnée à la vie est devenue une condition de l’action. »
MDR. De toute façon ce soap devrait s’appeler
coucheries en famille puisque maintenant tout le monde couche avec tout le monde.sexcapades Family
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